La boutique La Saga expose durant tout ce mois de décembre les œuvres de Anne Brandy. Une voyageuse, ethnologue, architecte et archéologue, qui s’intéresse à l’histoire de l’homme et de la pierre.

Peintre et sculpteur, Anne Brandy retranscrit la mémoire du monde sur des fresques et des bas-reliefs aussi énigmatiques que les fragments des temples enfouis dans les jungles, et témoigne des civilisations perdues au moyen de matériaux élaborés en secret, comme un alchimiste cherche l’or.

Passionnée d’ethnologie et d’études des civilisations traditionnelles, Anne a su créer son propre mode d’expression artistique. A partir de matrices simples qu’elle invente, elle façonne de délicats bas-reliefs qui sont comme des fragments de fresque dérobés aux ruines de mini temples perdus dans la jungle du temps. Elle colore ensuite ces empreintes et leurs motifs répétitifs de tonalités en camaïeu et les fixe sur un fond blanc qui renforce leur présence poétique. Ce sont des supports de rêve et de méditation comme autant d’ouvertures au monde.

A voir à la boutique La Saga, 8 rue Blanche de 10h à 12h30 et de 15h à 17h.
- jusqu'au 18 décembre : les samedi et dimanche.
- du 19 au 27 décembre : tous les jours.

Avec son sixième livre “L'homme qui grandit”, Bernard Palacios nous livre une fois encore une floraison d'histoires sorties tout droit de ses mondes fantasques où se mêlent la fantaisie, la fraîcheur et la poésie que ses fidèles lecteurs affectionnent.

Après son premier livre paru en décembre 2009, Bernard Palacios n'a de cesse de nous surprendre et de nous ravir à chacune de ses publications. Cette fois, c'est à travers 21 histoires à dormir debout qu'il nous invite à le suivre dans des lieux improbables, des dimensions parallèles et pourtant si proches du réel.

Celui qui osera s'y aventurer y fera des rencontres pour le moins surprenantes, alors pour que tout se passe bien, mieux vaut ne rien rater des recommandations que l'auteur a distillé au fil de ses pages !

“L'homme qui grandit”, Editions du Naduel, collection Trésors, est disponible sur commande en écrivant à : bernard.palacios@yahoo.fr
ou à Saint-Laurent-le-Minier :
• boutique La Saga, rue Blanche, les samedi et dimanche de 10h30 à 12h30 et de 17h à 19h,
• chez Chantal, 6 rue Cap de Ville, les lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi de 14h à 18h.

Jean-Pierre Poinas était passé par Saint-Laurent prendre un peu de repos avant de partir pour le Népal. Il ne savait pas alors qu'il allait vivre avec nous l'épisode cévenol qui a marqué tous les villageois et qu'il allait passer 15 jours les pieds dans la boue œuvrant parmi tous les bénévoles pour aider à nettoyer le village. Un an et demi plus tard, le samedi 2 avril, invité par l'association Resurgéncia, l'écrivain voyageur est venu présenter son livre “Népal, un jour de plus” à un public attentif et curieux.

Après “Dépêches du Myanmar, au fil des jours dans la Birmanie singulière” et ”Le Noël des Pirogues” où le voyageur rejoignait le Mékong, en Thaïlande, au Laos et au Cambodge, Jean-Pierre Poinas nous emmène avec son troisième ouvrage à la rencontre d'un Népal bouleversant, où cohabitent la jungle et les cimes, l'hindouisme et le bouddhisme, les artistes et les guerriers, l'ascèse et l'érotisme. Tour à tour drôle et profond, imprévisible d'un chapitre à l'autre, l'auteur cultive une errance féconde, poursuivant son chemin au hasard des rencontres, comme s'il ne devait jamais revenir.

A travers ses lignes, chaque moment de son périple est retranscrit comme un moment d'éternité. “Je ne voyage pas, je vais et je demeure, aussi longtemps que dure mon étonnement, mon émerveillement, voire ma stupéfaction.” ”Je suis ici, et nulle part ailleurs.”

Lors de son passage à Saint-Laurent, Jean-Pierre a notamment écrit “L'épisode” pour témoigner de son expérience au milieu des bénévoles venus aider un village meurtri. Il a offert ce texte aux villageois et le livre édité aux éditions du Naduel a été vendu au profit des sinistrés.

Népal, un jour de plus, de Jean-Pierre Poinas aux éditions Elytis - www.elytis-edition.com
Distribués par Harmonia Mundi et disponible sur commande dans toutes les bonnes librairies.

Nathalie Erin relance son groupe vocal Tutti Tchanti et invite tous ceux qui ont le désir du chant, néophites comme plus expérimentés à le rejoindre dans le cadre tout particulier du château de Saint-Laurent-le-Minier.

Dans une ambiance conviviale, le travail (technique, respiration, gestuelle, rythme, interprétation, ...) reste néanmoins sérieux pour la mise en place d'un répertoire très varié : deux à quatre voix, jazz, gospel, classique, variété, renaissance Haendel, Dutronc, Pergolese, Hoffenbach, Lilicub, Bach, Bobby Mc Ferrin, Gainsbourg...

A travers sa passion du chant, Nathalie a appris à comprendre le fonctionnement de l'autre tout en rencontrant des personnes extraordinaires. Et cela continue. C’est ce qu'elle veut partager encore aujourd'hui pour le bien être personnel de chacun.

“La voix est le marqueur de tout ce qui s’est passé en nous. La respiration permet de réinitialiser le tout. Ce que je souhaite faire passer comme message, c'est aider l'autre à se libérer...”

Groupe vocal Tutti Tchanti, tous les mardis soir de 19 heures à 21 heures au château de Saint-Laurent-le-Minier.

Infos et inscriptions : 06 76 74 52 67 - nathalie.erin@gmail.com - www.nathalieerin.com

Avec le musicien noir, Françoise Renaud a regroupé dix-sept de ses nouvelles écrites entre 2008 et 2015, dont une moitié a été publiée dans différentes revues littéraires.

Depuis son premier roman “L’Enfant de ma mère” paru en 1997 et qui a marqué le début de sa trajectoire littéraire, bien d’autres ouvrages ont suivi. Mais à côté de son travail de romancière, l'auteur, installée à Saint-Laurent-le-Minier au printemps 2014, libère au quotidien son énergie créatrice du moment. “La nouvelle est un travail interne qui m'est indispensable. Ces textes courts me permettent de travailler chaque jour et d’aboutir à quelque chose de visible alors que le roman réclame un gros investissement de temps.”

Le lecteur rencontrera dans ce recueil toutes sortes de personnages : musicien, globe-trotter, sprinteuse, vieux jardinier, mère de famille, vendeur de chaussures, fille délurée, maître-nageur, … tous saisis en un endroit précis de leur parcours. Ce qui les rassemble : leur fragilité, leur quête obstinée du bonheur. Et l’écriture, précise et charnelle, raconte l’intime de leurs vies minuscules, révélant des étendues de silence insoupçonnées.

“Si leur vérité nous touche, s’ils nous embarquent dans leurs rêves, c’est bien qu’ils nous ressemblent.”

A travers ces fragments de vie, l'auteur donne une présence romanesque à des êtres improbables dont elle exalte la nécessité en quelques pages voire en quelques lignes. Elle y prend ses aises avec une souveraine liberté mais quel que soit le “langage” adopté, c’est toujours la même cohérence artistique qui impose un choix et un usage des mots nécessaires et suffisants.

Cette écriture intransigeante, précise, sensible et poétique emmène le lecteur là où elle l'a décidé. Et on se laisse mener.

Le musicien noir
Recueil de nouvelles
Collection Petites Proses, 2015,
Couverture : Jacki Maréchal
172 pages, 10 €

Disponible auprès de l’auteur www.francoiserenaud.com,
et à la boutique “La Saga” à Saint-Laurent-le-Minier le samedi de 10h30 à 12h30 et de 14h30 à 17h30 et le dimanche de 10h30 à 12h30.

Dans le cadre du mois de fête du temple du village, l'ensemble de cuivres protestant “les Ambrassadeurs“ de Saint-Hippolyte-du-Fort, renforcé par une fanfare protestante allemande, donnera un concert public le samedi 29 août à 20h30.

Compte tenu du nombre de musiciens et afin de ne pas occasionner de difficultés de stationnement pour les riverains du temple, le concert aurait lieu à côté de la mairie, sur l'Espace Michel Hollard (entre la mairie et la Fabrique).

Entrée gratuite, participation libre.

Contact : 04 67 73 86 25

A l'occasion de la parution de leurs deux ouvrages, Françoise Renaud et Bernard Palacios créent un moment de conversation-lecture suivi d'un apéritif-dédicace le samedi 18 avril à 18h salle Roger Delenne.

Si les parutions de ces deux voisins de la rue Cap de Ville décidément créative ont vu le jour au même moment, leur genre et leur contenu sont pour le moins très différents :
- des nouvelles entre surréalisme et merveilleux ou le réel retransformé vient nous surprendre pour “Le grand lapin blanc” de Bernard Palacios.
- un roman/récit réaliste, histoire d’une sœur humaine à l'atmosphère poignante, pour “Ce qu’elle veut dire” de Françoise Renaud.

Pourtant, le style épuré et très personnel de chacun rapproche les deux ouvrages alors les deux écrivains ont eu envie de croiser leurs propos, leurs histoires à travers une présentation où se mêleront conversations, échanges rapides et fragments mis en lecture.

La présentation (30 à 45 mn) sera suivie d'un apéritif qui réunira le public pendant un temps de dédicace.

Entrée gratuite
Contact : renaudfran@free.fr - 09 84 39 64 26

Françoise Renaud aux côtés de son éditrice Behja Traversac.

La maison d'édition montpelliéraine Chèvre-Feuille étoilée ouvre ses portes à Françoise Renaud et publie son nouveau livre “Ce qu'elle veut dire”.

Au-delà de leur vocation première qui était de rapprocher les méditerranéennes, les quatre femmes de cette maison d'édition, Behja Traversac, Edith Hadri, Maïssa Bey et Marie-Noël Arras, œuvrent ensemble depuis 15 ans pour ouvrir l’édition à d’autres styles d’écriture, sortir des frontières de l’académisme littéraire et laisser la place à une langue qui se renouvelle sans cesse.

C'est au cœur de cette aventure de femmes que Françoise Renaud trouve sa place pour son recueil de la parole de l'autre, de “Ce qu’elle veut dire”. Elle, l’amie jamais nommée dans ce récit, représentée par ce pronom si “personnel” et universel à la fois, se sent accompagnée par l’écrivain dans l’épreuve qu’elle traverse. Elle raconte et fouille son histoire pour comprendre.

Et c'est avec des mots toujours simples et justes que Françoise Renaud l'aide à pénétrer la broussaille, à progresser à cœur. La seule parole qui tienne est en train de s’écrire. La vérité est dans le livre…

Disponible début mars dans toutes les bonnes librairies, sur www.chevre-feuille.fr/ et www.francoiserenaud.com

Après un premier livre paru en décembre 2009, c'est au rythme d'une parution par an que Bernard Palacios nous livre avec fraîcheur et fantaisie des histoires où les souvenirs de ses aventures passées côtoient son présent. Cette fois pourtant, sa plume a pris quelques libertés, alors les histoires qu'il nous conte échappent à la logique pour nous porter vers des dimensions parallèles où le fantastique s'immisce dans le quotidien.

Dans “Le grand lapin blanc”, Bernard a réuni 21 histoires à dormir debout où les créatures sorties de son imaginaire pictural prennent vie pour son plus grand plaisir. Car il faut bien le dire, Bernard Palacios écrit pour le bonheur d'écrire : “Je ne me dis pas au début que je vais faire un livre. J'écris les choses pour le plaisir. Je le nourris un peu tous les jours et les choses viennent”. Parfois ce sont des idées dessinées il y a plusieurs années qui prennent forme et l'inspiration ne tarit pas comme lorsqu'il réalisait ses films d'animation.

Le Grand Lapin Blanc est disponible aux éditions du Naduel en retournant le bon de commande ci-dessous, ou à L'escope du Jardin les samedi et dimanche, place du Jardin à Saint-Laurent-le-Minier.

Françoise Renaud veut faire vivre l’artistique au village.

Le 13 décembre devait commencer la 13ème édition du Chemin des z’Arts à Saint-Laurent-le-Minier et Françoise Renaud, installée au village au printemps dernier se réjouissait de faire découvrir son lieu d’écriture. Mais hélas, les épisodes cévenols sont passés par là et plusieurs ateliers d’artistes qui accueillaient habituellement les visiteurs lors de ces portes ouvertes sont encore en reconstruction.

Le Chemin des z’Arts ne se fera donc pas cet hiver mais l’énergie créative est bien toujours là, tout comme l’envie de conserver le lien qui s’est créé -ou renforcé- entre les villageois et leurs amis des villages voisins.

Françoise Renaud, désireuse de faire vivre l’artistique au village, propose alors un moment de rencontre et de dédicace dans la salle du restaurant Le Jardin d’Elise qui se transformera le temps d’un après-midi en petit salon du livre. L’on pourra y découvrir ses ouvrages : romans, beaux livres, livres pour la jeunesse…. 

Née en Bretagne, Françoise a enseigné les sciences de la terre durant vingt ans à Montpellier. Elle se consacre désormais à la littérature — un art de vivre. Si le roman reste son travail de fond, elle écrit aussi des textes courts, des nouvelles, des textes pour la jeunesse, touche à la biographie et à la poésie. Son blog Terrain Fragile lui sert d'atelier au quotidien. Elle tient à évoquer ses collaborations avec différents artistes, entre autres avec Frédéric Tari, compositeur et violoniste avec qui elle monte des lectures-concerts depuis 2004. Une vingtaine d'ouvrages ont paru depuis L'Enfant de ma mère (HB éditions, 1997). Le dernier : “Inondation” est en cours de finition d’écriture, et sera illustré par les encres d’une artiste montpelliéraine Marie-Lydie Joffre.

Les visiteurs en profiteront pour admirer les tableaux de Katia Kipeint exposés sur les cimaises du restaurant.

Juste à côté, la boutique associative L’escope du Jardin continue à présenter les œuvres originales des créateurs du village et des environs : créations textiles pour femmes et pour enfants, bijoux, sculptures, peintures, livres, carnets, céramiques, fer et forge, … ! De quoi se réjouir les yeux et, pourquoi pas, dénicher ses cadeaux de fin d’année tout en soutenant les artistes du village.

Samedi 13 décembre, place du Jardin à Saint-Laurent-le-Minier.
- de 15h à 19h au restaurant le Jardin d’Elise,
- de 11h à 19h à L’escope du Jardin.

Mich' à la guitare (photo Philippe Juhel)

Après avoir choisi la cascade de Saint-Laurent-le-Minier au printemps 2013 pour tourner des images du clip réalisé pour leur chanson “Cocagne”, les Zoufris Maracas reviennent sur les rives de la Vis pour un concert sur la terrasse de la guinguette “Le glacier de la Vis”.

Ce groupe français est composé d'abord de Vinc' et Mich', deux amis originaires de Sète. Mich', le guitariste et compositeur est installé à Saint-Laurent depuis 2 ans où il d'ailleurs davantage connu sous son vrai prénom Vincent.

Après avoir joué en format duo dans le métro parisien où ils ont soulevé des rames d'applaudissements, ils ont été rejoint par quatre autres musiciens de talent pour livrer au public leurs “chansons métissées”. Les textes sont engagés, malheureusement d'actualité, mais l'enjouement et l'autodérision illuminent une réalité morose. Les mélodies sont tantôt inspirées des rythmes zouk, des rumbas congolaises, tantôt empruntes des sonorités manouches, afro-brésiliennes ou reggae, accompagnées de texte en français. En bref ils sont des ouvriers de la chanson, des “Zoufris” comme on disait en Algérie à propos de ces ouvriers célibataires venus travailler à la reconstruction… et Maracas pour symboliser la musique.

Concert le lundi 18 août à 21h30 à la Guinguette de la Vis à Saint-Laurent-le-Minier

Leur premier album “Prison Dorée” est disponible :
- en mp3 : http://bit.ly/prisondoree-nouvelle-ed
- en disque : http://bit.ly/prison-doree-nouvelleedition-fnac
- sur Deezer : http://bit.ly/prison-doree-nouvelle-ed-dezzer

Françoise Dupuis et Marie-Claire Vidal exposent leur peintures les samedi 21 et dimanche 22 juin à la salle Roger Delenne.

Marie-Claire Vidal pour qui la peinture est comme une raison de vivre, aime explorer et n'hésite pas à passer d'une technique à l'autre. L'aquarelle, les pastels et l'huile deviennent alors ses langages et c'est à travers différents registres qu'elle exprime toute sa sensibilité artistique.

Françoise Dupuis préfère se concentrer sur le dessin aux crayons de couleurs. En alliant l'observation de la nature et son goût de la minutie, elle fait de ce passe-temps une passion et c'est tout un petit monde animalier qui se découvre dans ses planches à l’esprit naturaliste.

Le vernissage se fera en présence des artistes le vendredi 20 juin à partir de 18h.

Le film “Dernière Course” de Virginie Dezetter et Brian Messina avec Jacqueline Guiraud dans son premier rôle à l’écran a été projeté ce mercredi 11 juin, dans une salle Roger Delenne comble où les spectateurs se sont laissés envahir par l'émotion de l'histoire.

Le verre de l'amitié offert par le club du Gourgoulidou à l'issue de la projection a permis à chacun d'exprimer à l'actrice et au jeune réalisateur présent son enthousiasme et ses encouragements pour le devenir de ce film.

La projection a été suivie d'une distribution de bouquets de fleurs.

C'est à 91 ans que Jacqueline Guiraud a fait ses premiers pas de comédienne dans le film “Dernière course” où elle joue un rôle taillé pour elle auprès de Benoit Davin. 

Ce film, un court-métrage de 26 mn, adapté d'une nouvelle de Kent Nerburn a été réalisé par Virginie Dezetter et Brian Messina du collectif d'artistes “les Mad Makers Impulsion”. 

Virginie, passionnée par l’image et notamment la photographie et Brian, sortant d'une Licence Cinéma à l’université Paul Valery de Montpellier, se sont tous les deux passionnés pour l’histoire de Kent Nerburn et ont décidé de mettre en œuvre leurs connaissances pour donner une autre vie à ce récit. 

Au début du tournage, si Jacqueline a été très impressionnée et intimidée par les projecteurs et les caméras, la jeune équipe technique s’est montrée elle aussi intimidée devant cette grande petite dame. Pourtant très vite, la personnalité de Jacqueline et le caractère de cette bande de jeunes artistes ont fait qu’ils se sont sentis comme une famille. C’est ainsi et tout naturellement que tous l’ont appelée “Tatie Mamie” petit nom que le réalisateur Brian lui donne depuis longtemps puisqu’il se trouve être son petit-neveu.

Les images ont été tournées au printemps 2013 dans la région de Montpellier et la diversité des décors a contribué à la beauté de ce film très émouvant bercé par la musique du compositeur Sébastien Agniel.

Un an après, Jacqueline parle avec passion de ces longues journées de tournage, journées fatigantes mais tellement excitantes. Elle se souvient pourtant avoir toujours eu l'inquiétude de ne pas être à la hauteur et de gâcher le travail de l'équipe. “Ils se donnaient tellement de mal”. 

Depuis cette expérience passionnante, elle ne regarde plus les films de la même façon,

Le film sera projeté le mercredi 11 juin, à 18h, salle Roger Delenne

La projection sera suivie d’un verre de l’amitié autour de Jacqueline et du réalisateur afin de permettre à tous d’échanger leurs impressions sur ce film.

Entrée gratuite, pour tous,
Organisé par le Gourgoulidou

Les deux acteurs Jacqueline Guiraud et Benoit Davin.

Les réalisateurs Virginie Dezetter et Brian Messina.

Françoise Renaud et son compagnon Patrick, nouveaux venus à Saint-Laurent-le-Minier puisqu’ils ont acheté une maison rue Cap de Ville, prennent petit à petit possession des lieux. Si, pour l’instant, on ne les voit guère souvent dans le village, c’est qu’ils sont tous les deux très occupés par les travaux de rénovation de leur nouvelle demeure et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils mettent tout leur cœur à l’ouvrage.

Avant de s'installer sur cette terre cévenole, Françoise a enseigné les sciences de la terre durant 20 ans à Montpellier puis a abandonné le professorat pour se consacrer à la littérature. Plus d'une quinzaine de ses romans et récits ont été publiés depuis L'Enfant de ma mère en 1997. Certains ont puisé leur matière dans son pays d'origine, comme Le Regard du Père ou Créatures du fleuve.

Son pays d'origine : le pays de Retz, bordé par la côte de Jade, derniers caps sauvages au sud de la Bretagne. Il s'agit d'une terre à l'identité forte qui façonne celui qui y demeure et bouleverse celui qui le visite. “Ce monde est mon “chez moi”, il m'a nourrie. Il a toujours été mon allié, dans la vie comme dans l'écriture.”

Depuis longtemps, Françoise Renaud écrit et photographie au fil de ses séjours ce pays où elle est née. Dans son dernier ouvrage, “L’emprise de l’océan” elle en raconte l'Histoire – à sa façon –, les mutations profondes du territoire dans les années 1970, l'enfance à la plage, les gens, les tempêtes. Le pays est là, présent à chaque tournant : arbres, rochers, criques, vent, lumière. Un livre original taillé au burin, plein vent, face au large.

Françoise Renaud présentera son livre les 23, 24 et 25 mai à la Comédie du Livre à Montpellier.

“Côte de Jade - L’emprise de l’océan” - CLC éditions Textes et photographies de Françoise Renaud

http://www.francoiserenaud.com/

Agathe Arnal, ouvre le village à la culture.

La nouvelle municipalité élue le dimanche 23 mars n'avait pas encore réellement pris les rênes de la commune que déjà la commission culture proposait le mercredi 26 mars un spectacle pour tous : “La digestion du batracien de salon” par la compagnie La petite vitesse.

Agathe Arnal, metteur en scène et comédienne, commence son deuxième mandat de conseillère municipale attachée à la commission culture de Saint-Laurent-le-Minier. Un village qui se démarque depuis plus de 30 ans par son terrain favorable aux énergies créatrices. Plus personne n'ignore le chemin parcouru par la Fabrique et ses studios de cinéma d'animation. C’est d’ailleurs dans ces studios qu’Agathe, enfant, aimait déjà aller à la rencontre de l’expression artistique.

Si aujourd'hui, Saint-Laurent-le-Minier abrite un vivier d'artistes de toutes disciplines, la nouvelle salle Roger Delenne inaugurée il y a plusieurs mois permettra, outre le fait de recevoir les réunions et animations des associations, de donner un nouvel élan culturel pour le village.

Ainsi Agathe Arnal propose d'y inviter des artistes en résidence, un système d'échange qui procure à des compagnies un lieu de répétition pendant quelques jours suivis, en contrepartie, d’une représentation de leur concert ou spectacle que la compagnie invitée offre à leur hôte.

Cet échange permettra au village et aux associations de proposer aux villageois, aux écoliers et aux visiteurs de passage, de nombreux spectacles de qualité.

La dernière semaine de mars, c’est une nouvelle compagnie qui a investi les lieux pour travailler sur "la petite poule qui voulait voir la mer".

La compagnie a rencontré les enfants de l'école autour de l'écriture de leur spectacle et les a invités à une répétition juste avant leur première au théâtre de la Cigalière de Sérignan.

La Compagnie La petite vitesse présente “La digestion du batracien de salon”

“Le batracien de salon est le seul amphibien connu parmi le petit peuple domestique.Tapi à proximité d'une bibliothèque, Il profite du calme de la nuit pour en dévorer, page par page, livres et recueils. Au lever du soleil, il entame sa digestion et fait de sa bouche un théatre, où l'histoire avalée dérape sur les sucs de l'imaginaire.”

Un univers improbable pour une digression sur la réalité ; de celle qu'on prend dans les histoires, les nôtres ou celle des contes.

Le mercredi 26 mars à 18h à La salle Roger Delenne

Spectacle tout public à partir de 6 ans
Entrée 3 euros - Réservation 06 13 30 49 20

Organisée par la commission culture de la mairie de Saint Laurent le Minier Un petit aperçu ici : http://www.youtube.com/watch?v=UfDDyYAv5N0

Bernard Palacios s'est entouré d'amis auteurs pour concocté un recueil de petits bonheurs.

C’est par le fruit du hasard que Bernard Palacios a goûté il y a un peu plus de trois ans aux délices de l’écriture. Depuis, il n'a pas perdu son temps puisqu'il est déjà l'auteur de trois livres publiés aux éditions du Naduel.

L'homme aime aussi les expériences créatives communes alors, il y a quelques mois, Bernard réunissait quelques amis, écrivains novices ou confirmés, autour d'un projet de livre sur “Les choses et la vie”. 

Et ce sont seize d'entre-eux (dont 5 habitants de Saint-Laurent-le-Minier) qui ont répondu à l'invitation et qui se sont livrés, pour les uns avec tendresse et poésie, et pour d'autres avec humour, malice et philosophie.

On retrouve ainsi les mots de Catherine Aladenise, monteuse ; Christian Arnau, plasticien et directeur d’études EMCA ; Chantal Bossard, plasticienne ; Claudie Floutier, plasticienne ; Frédérique Guichard, plasticienne ; Katia Kipeint, peintre et sculpteur ; Jean François Laguionie, réalisateur de films d'animation ; Anik Le Ray, auteur, scénariste ; Odrey Mecker, intervenante théâtre ; Bernard Palacios, peintre et réalisateur de films d'animation ; Jean-Pierre Poinas, journaliste ; Philippe Pollet-Villard, réalisateur et écrivain ; Françoise Renaud, écrivain ; Renaud Richard, ferronnier ; Roms, lycéenne ; Jean-Christophe Terraillon, ingénieur, dessinateur en bâtiment et peintre.

Bernard Palacios a réuni les textes et en a assuré la relecture. Catherine Bouteiller a réalisé la mise en page. Et c'est en décembre dernier que les premiers lecteurs ont pu découvrir « Des écrivains racontent les choses et la vie ».

Samedi 8 février, Bernard Palacios nous convie à un moment de rencontre et de dédicaces autour d'un buffet à partir de 17 h 30 dans la salle des associations

L'orchestre de Chambre des Cévennes présentera une répétition publique le vendredi 15 novembre à 20 heures à la salle Roger Delenne.

Au programme de cette séance de travail, des extraits des œuvres suivantes seront présentés et commentés : “Concerto grosso” de Sammartini, “Noël russe” de Glasunov, “l’arbre de Noël” de Rebikov, “Concerto grosso” de Corelli, “Glorification” de Liadov, “Weihnachten” de Reger, “The syncopated Clock”, “Plink, plank, plunk” et “Sleigh Ride” de Anderson, “Ronde” de Rimski-Korsakov.

L'Orchestre de Chambre des Cévennes, est soutenu par la région Languedoc Roussillon, le Conseil Général du Gard, le Pays Viganais Cévennes, Le Vigan en Cévennes et la mairie de Saint-Laurent-le-Minier.

A l’occasion de la sortie de son dernier recueil “L’impatience du tilleul” Geneviève Bertrand vous convie à une lecture chorégraphiée accompagnée par Marie-Hélène Desmaris, danseuse de l’association virgule et pointillé (Aix en Provence) le vendredi 19 juillet à 18h30 à la Combe - Saint-Laurent-le-Minier.

Geneviève qui aime jardiner et écouter pousser les plantes comme on écoute pousser les mots présentera “L’impatience du tilleul”, une écriture enracinée au paysage cévenol au fil des saisons, méditation sur le lieu racinaire, fusion et exil permanent, errance intérieure entre Cévennes, la terre ancestrale, et Provence, la terre adoptive.

Geneviève Bertrand est née à Montpellier, à proximité de cette terre cévenole “lieu d’attache qu’aucun ailleurs ne saura dénouer”. Après des études à la Sorbonne et un exil parisien, le retour dans le Sud fut pour elle une réconciliation intérieure d’où jaillit l’écriture. Elle vit actuellement entre Coudoux où elle travaille comme documentaliste et Saint-Laurent-le-Minier où elle puise son inspiration poétique.

Le verre de l’amitié sera offert après la présentation, libre participation.

Vente de recueils et dédicaces. Réservation (souhaitable) : 06 88 92 01 69